« A dix contre onze, ils nous ont laissé plus d’espaces et on était bien organisé défensivement. Après, les Corses se sont livrés beaucoup plus parce qu’ils cherchaient à se créer des occasions, ce qu’ils n’auraient pas fait forcément au début. Le jeu était moins fermé, mais dire que c’est plus facile à dix, je ne le dirais pas. A onze par contre, on doit mieux gérer notre sujet ».
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